par Christiane Guttinger
De récentes expositions de gravures, « Trésors en noir et blanc» au Petit-Palais à Paris[1], « Par delà Rembrandt. Estampes néerlandaises du Siècle d’or » à Chantilly, «Rembrandt et la Bible. Gravure divine» au Musée international de la Réforme à Genève, nous conduisent à envisager cet art de la gravure sous un jour dépassant ses valeurs esthétiques et religieuses par une visée politique.